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Aujourd’hui, les salarié.es du centre social étaient en formation avec Pascal concernant la base de données : mise à jour, nouvelles fonctionnalités, conseils … De nombreuses informations qui seront bénéfiques !

Nous relayons la demande d’un jeune sorbéran. Fayike a 16 ans, il est au lycée au Chambon-Feugerolles. Il souhaite perfectionner son français. Il recherche donc une personne qui aurait du temps pour l’aider une ou deux heures chaque semaine, pour faire un peu de lecture, un peu d’écriture, améliorer l’orthographe…

Si vous êtes disponibles, vous pouvez nous appeler pour que l’on vous mette en contact. Merci pour lui!

– Qui êtes-vous ?
Je suis Jean-Pierre, retraité et j’habite Sorbiers. Ma femme s’appelle Marie, et mon fils Matthieu. J’ai deux petites filles et un petit garçon.

Je suis né à Annonay en Ardèche. J’ai été architecte puis directeur du Parc du Pilat.

J’ai fait beaucoup de sport, surtout de la course à pied et de la montagne ; j’ai gravi pas mal de sommets en France mais aussi quelques sommets mythiques en Afrique et au Moyen Orient. A la suite d’un accident de vélo, je suis désormais en fauteuil roulant, ce qui m’empêche désormais de faire beaucoup de choses ; néanmoins, avant cet épisode Covid, je chantais à la chorale A Tout Chœur à la Talaudière et je participais au soutien scolaire au Centre Social LOISO.

– Quelle place avez-vous au Centre Social LOISO ?
Je fais partie du groupe de bénévoles qui essaient d’aider des collégiens et des collégiennes dans leur parcours scolaire dans une ambiance sympathique au Centre Social LOISO.

– Qu’est-ce qui vous motive à donner de votre temps au Centre Social ?
Plusieurs choses m’ont conduit à cette activité : tout d’abord l’envie de partager les connaissances, la nécessité d’être utile, et le plaisir de me replonger dans les mathématiques.

– D’après vous, quelles qualités sont nécessaires pour être bénévole ?
Avoir l’esprit ouvert et savoir écouter.

– Qu’est-ce que cela vous apporte ?
De sortir de mon univers, qui s’est considérablement rétréci surtout depuis que j’ai eu mon accident.

– Que diriez-vous à quelqu’un qui hésite à s’engager ?
Qu’il faut s’engager pour mesurer ce que peuvent vous apporter les autres et pour moi en l’occurrence les enfants.

Le temps nuageux de ce mercredi n’aura pas empêché les enfants de s’amuser en plein air cet après-midi !